*cette promenade se fait en suivant le plan du parc chaque numero correspond à une etape numerotee sur le plan.

On commence la visite dans la partie "parc' qui se trouve près du château .Si dans le reste du domaine on trouve une végétation et une "forêt" assez spontanée avec les essences que l'on rencontre habituellement en région parisienne, il n'en est pas de même près du château qui correspond à une partie "parc", lieu de prestige, promenade des hôtes des anciens propriétaires et souvent visible de la terrasse devant le château et qui pour cette raison comporte des arbres plantés, rares ou exotiques.

1) GINKG0 BILOBA:
Il s'agit d'un arbre très ancien qui date de la fin de l'ère primaire  et du secondaire.  C'est ce qu'on appelle un arbre fossile.  Il est très primitif et constitue une transition entre les fougères arborescentes et les conifères.  Quand on examine sa feuille, on constate qu'elle a une forme d'éventail avec souvent deux lobes (biloba).  Observons qu'il n'y a pas de nervure ,elle  n'était pas encore inventée ! Le gingo s'est maintenu en Chine et au Japon où il était planté autour des pagodes ; on lui attribuait la vertu de protéger les temples des incendies.  Nous avons devant nous un arbre mâle d'une centaine d'années ; les arbres femelles produisent des ovules qui ressemblent un peu à des cerises sans noyau et qui se décomposent sur le sol en dégageant une odeur désagréable ; on évite donc de planter des ginkgos femelles au bord des avenues et dans les parcs.  On appelle le ginkgo, "arbre aux 40 écus', à cause de son feuillage couleur d'or en automne (ou bien à cause du prix exorbitant : 40 écus d'or qu'aurait payé à un anglais, son acquéreur français à la fin du 18me siècle)

2)LE GROS FRENE : C'est le seul arbre de nos forêts qui ait les bourgeons noirs (facile à observer ). On fait de la frênette avec ses feuilles composées.  C'est un bois de valeur, dur, aux fibres longues et souples ; autrefois on en faisait des skis, des arcs, aujourd'hui des manches de hache et de pioche, il est très clair, jaune nacré.  Cet arbre là a plus de 150 ans.

3) LE CYTISE ou faux ébénier
Il a de belles fleurs jaunes en grappes (ces fleurs sont toxiques, attention à ne pas les confondre avec les fleurs blanches de robinier qui sont excellentes en beignets).  Quand on gratte l'écorce d'un rameau et que l'on sent on peut reconnaître une odeur proche de celle du haricot ou du petit pois. le cytise est de la famille des légumineuses et son fruit est une gousse qui rappelle le haricot.  Le cytise s'appelle aussi faux ébénier.  Le cœur du bois de cytise âgé est noir comme de l'ébène.

4) CEDRE DE L'HIMALAYA (ou cèdre Déodar)
Ce beau cèdre a été planté en 1991 en l'honneur de ROLAND PIERRE qui a été le premier régisseur de Jambville, dans l'acquisition de la propriété par les Scouts de France en 1952.  C'est ROLAND PIERRE, décédé en 1990 qui avait mis le premier au point ce circuit de découverte du parc et installé la serre qui porte son nom.  Ce cèdre est protégé par une clôture de la dent des daims et des cerfs,

5) IF :
On classe habituellement l'if dans les conifères malgré le fait qu'il ne porte pas de cônes.  Sa graine est contenue dans une 'arille", sorte de baie rouge au goût sucré, non toxique pour les oiseaux qui contribuent en rejetant les graines dans leurs crottes, à faciliter la dissémination de l'if.  Les feuilles sont très toxiques comme en gros toute la plante (500 g de feuilles d'if suffisent pour tuer un cheval).  Ce qui explique que l'if ne se rencontre plus dans les campagnes.
On le plante dans les parcs et les cimetières (mais quand le cheval  du corbillard rentrait malade de l'enterrement ce n'était pas toujours parce qu'il pleurait son maître..).
On fait aujourd'hui de l'écorce, un produit le taxol qui constitue un des meilleurs remèdes contre le cancer.  L'if pousse très  lentement et son bois est très dur.  On en faisait des arcs qui avaient une meilleure performance encore que les arcs en frêne. les français ont perdu la bataille d'Azincourt (1415 ,un siècle avant Marignan) car leurs adversaires les anglais avait des arcs en If qui portaient plus loin.

Sous l'if, il y a souvent des ORTIES, on peut en profiter pour montrer avec une loupe les 'petites seringues  à injection" qui se trouvent sous les feuilles de l'ortie et qui se cassent quand elles pénètrent dans la peau, montrer également que l'ortie ne pique pas quand on la prend en remontant.

6) LE HOUX
Les houx ont des feuilles  basses qui portent des piquants, alors que ces épines se raréfient peu à peu pour disparaître presque complètement en haut de l'arbre . Pourquoi ?
Parce qu'il n'existe pas de girafe en Europe.  S'il y avait des girafes, le houx aurait été obligé de défendre ses feuilles même dans les branches hautes.. Comme dans le cas du ginkgo et de l'if, il existe  des houx mâles et des houx femelles ; ce sont les houx femelles qui donnent les belles baies rouges qui rendent les branches de houx si décoratives à l'époque de Noël mais attention en appartement les feuilles persistantes très chitinisées sont inflammables.
Le bois contient peu d'eau c'est un très bon combustible ; c'est aussi un bois clair très facile à travailler utilisé en sculpture.

7) FRAGON ou petit houx ou ruscus
Petit arbuste curieux, de la famille des liliacées, qui porte des feuilles particulières appelées "cladodes" qui ne sont pas de vraies feuilles mais des rameaux aplatis. on remarque en effet que les fleurs et les fruits apparaissent au milieu de la fausse feuille.  Le petit houx développe dans certaines conditions une forte odeur de citronnelle qui peut servir à éloigner les moustiques.  Les jeunes pousses de fragon au printemps sont comestibles et peuvent être mangées comme des asperges.

8) ERABLES
On tombe sur un groupe d'arbres comprenant des exemples des trois sortes d'érables que l'on trouve le plus couramment dans la flore de France (non méditerranéenne).  On peut ainsi comparer les trois érables de la flore de la région parisienne :
- Erable sycomore : feuilles aux pointes peu acérées mais aux angles rentrant très aigus ; pétioles rouges ; samares (petits hélicoptères) formant un angle fermé (presque droit 901) -
- Erable plane : feuille aux pointes @s acérées mais aux angles rentrants arrondis, samares fo un angle très ouvert (obtus, 120 - 150 ')
- Erable champêtre : feuille dont tous les angles rentrants et sortants sont arrondis, samares  pratiquement alignés (1 80') . L'érable champêtre est une essence caractéristique des terrains calcaires . C'est une occasion de faire une première détermination de P.H : (8 environ); on en profite pour montrer la Mercuriale VIVACE qui elle aussi a une préférence pour le calcaire et qu'onretrouve en sous bois dans le parc en terrain calcaire ; montrer la différence entre mercuriales mâle et femelle.
Faire un concours avec des fruits volants d'érables : lequel ira le plus loin ?
Ces trois érables sont les seuls spontanés en région parisienne, on peut voir toutefois dans le parc d'autres érables décoratifs : L'érable Negundo au feuilles divisées et l'érable blanc lacinié, tous les deux originaires d'Amérique du Nord

A coté, on remarque la symphorine aux boules blanches (le naphtalinier !) et l'églantier aux fruits comestibles : les cynorhodons (dont on fait de bonnes confitures après avoir enlevé le poil à gratter)

9) PINS NOIRS (on se rapproche de la trouée centrale).
On peut comparer les troncs gris sombre des deux pins noirs avec la coloration saumonée du haut des troncs des pins sylvestres que l'on peut voir à quelques dizaines de mètres l' allure élégante des pins sylvestres et la raideur des pins noirs.

Comparer aussi la tonalité vrai sombre du feuillage des pins noirs avec celui glauque et plus clair du pin sylvestre, un peu plus loin (PIN SYLVESTRE), la longueur des aiguilles du pin noir : 10 cm avec celles plu courtes du pin sylvestre : 5 cm , les grosses pommes de pin noir avec les petites pommes de pin sylvestre.
Rappeler que Roland Pierre disait que lorsqu'on campe sous des pins sylvestres, même quand il pleut on a toujours l'impression qu'il fait soleil : tonalité orangée des troncs.

SUREAU NOIR Petit arbre fréquent auprès des habitations. branches et rameaux creux avec une moelle blanche. fruits noirs comestibles ( goût peu agréable) on en fait des confitures et aussi de fausses tartes aux myrtilles  Par contre ses fleurs permettent de préparer d'excellent beignets  et d'excellentes tartes.

10 11 12 13 14        15 CYPRES, CEDRES, EPICEA, MELEZE

En circulant dans la grande trouée d'Oinville , on voit bien : cyprès, cèdres, épicéas et mélèzes à quelques mètres les uns des autres, on peut les observer de loin (silhouette) et comparer les dispositions des aiguilles des quatre sortes de conifères avec celles des pins.

LesCYPRES vus en région parisienne, sont des faux cyprès (ou CHAIVIMCYPARIS), car les cyprès de Provence ne résistent pas suffisamment au froid ; cyprès, chamaecyparis, thuyas et même genévriers se ressemblent beaucoup, les aiguilles sont remplacées par des écailles ; on distingue bien ces genres par leurs fruits très différents.

Les CEDRES ont déjà la forme tabulaire, ils ont au moins 150 ans.  Ce sont donc vraisemblablement des cèdres du Liban.  Comparer la forme e des jeunes cèdres avec la forme tabulaires des sujets âgés.

Les MELEZES sont des conifères qui perdent leurs feuilles en hiver.  Ceux-ci ont des rameaux tombants, ce qui prouve qu'il sont originaires des Alpes orientales (Autriche) et non des Alpes françaises.  Les petites rosettes d'aiguilles du mélèze ressemblent beaucoup à celles du cèdre, les aiguilles plus douces et la couleur vert clair sont caractéristiques d'aiguilles qui se renouvellent chaque année.  Au printemps on observe de jolies petites fleurs rouges dans les branches.

Le jeune EPICEA a été brouté par les animaux ; on peut voir sur l'épicéa des galles en "ananas".

16)Un ERABLE LACDU, c'est une sous espèce décorative "de parc" de l'érable blanc (à sucre) du Canada.

L'EPICEA est souvent appelé à tort sapin (en particulier, c'est lui le sapin de Noël).  On verra au fond du parc un vrai sapin et on pourra comparer sapin et épicéa (pommes pendantes de l'épicéa, pommes dressées en chandelles du sapin), aiguilles piquantes, de section losangique et arrachant un peu du rameau à l'arrachage de l'aiguille pour l'épicéa, aiguilles plates et à bandes blanches et laissant de petites cicatrices rondes sur le rameau pour le sapin.  Sur l'épicéa. les aiguilles sont disposées tout autour du rameau (en "rince bouteille' ou en "queue de chat en colère") ; sur la plupart des sapins, les aiguilles sont disposées à plat de chaque côté du rameau (en 'peigne")

17) LE GROS CHENE (un peu à l'écart du circuit)
C'est l'arbre le plus gros du parc et des environs de Jambville, il mesure 5,40 mètres de tour à hauteur d'homme ; à a peut-être 400, 500 ans (en tout cas plus de 300).  Dans un creux entre les branches, pousse une fougère, le polypode ; le rhizome du polypode a un goût sucré de réglisse qui n'est pas désagréable.  Remarquer souvent des graines installées par une sittelle dans des craquelures du tronc.  Le tronc du gros chêne présente une certaine torsion .

18) LE TEMPLE GREC
On retraversé l'allée d'Oinville , Sous le temple grec, il  y avait le frigidaire du château ; on y stockait des blocs de glace découpés dans la Seine gelée l'hiver.Le temple a été construit pour cacher la butte où est accumulée la terre extraite du trou où a été construit le frigidaire.  Sur la butte, un noyer.

19)PLATANE
On redescend la trouée d'Oinville on peut comparer un arbre quelconque, un charme par exemple, dont les bourgeons se préparent de façon visible à l'aisselle d'une feuille avec le platane où aucun bourgeon n'est visible.  Le platane est issu de l'Orient pays chaud et sec. le bourgeon a besoin d'humidité pour se former.  Il se développe dans le pétiole de la feuille, ce qui lui procure abri et humidité et se trouve  libéré quand la feuille tombe en automne.  On voit bien sûr, la place du bourgeon dans les feuilles de platanes tombées.

On peut montrer la différence entre feuille de platane et feuille d'érable : la feuille de platane comporte trois nervures  principales et l'érable cinq (ou sept); le tissu foliaire ne commence pas sur le platane exactement au point de rencontre des trois nervures comme sur la feuille d'érable où le limbe part du point de départ des cinq nervures.

On peut voir au sol la mercuriale mais aussi un IRIS fétide (à odeur de jambon), encore une plante des lieux calcaires.

la MARE AUX FAISANS
Endroit humide, même si il n'y a pas réellement de mare -, menthe, origan marjolaine, saule pleureur.

21) CHATAIGINIERS
On aperçoit les premiers chataigniers qui indiquent que le sol s'acidifie.  Rappeler que le fruit (ou plutôt la graine) du châtaignier est la châtaigne et non le marron d'inde (fruit du marronnier).  On peut profiter de la présence du châtaignier, du charme , du chêne et du marronier pour comparer les écorces et les troncs des arbres différents.  Galles souvent à observer sur le chêne.
  La mercuriale disparaît remplacée par la ronce et de plus en plus de FOUGERES AIGLES.  On peut déterminer le PH près des fougères on trouve dans ce terrain siliceux et sableux un PH de 5 et non plus 7 à 8. on observe aussi des chênes sessiles et la germandrée scorodoine

22) BOULEAU:
on observe que le bouleau pousse en bordure de l'allée centrale et non pas au cœur de la partie boisée ; ceci permet de souligner le caractère pionnier du bouleau qui colonise les terrains nus: Le propriétaire du château avait élargi l'allée, le couvert forestier a tendance à regagner du terrain et c'est le bouleau qui a poussé le premier (en première ligne).  Ce caractère pionnier dans des friches prépare l'installation d'essences forestières plus nobles : les feuilles du bouleau se décomposent bien et enrichissent le sol son feuillage est peu dense et laisse une certaine lumière filtrer au sol pour faciliter les germinations  et la croissance des jeunes plants, enfin sa durée de vie est courte, un bouleau de 60 ans est dé à un vieil arbre.

23) ORME
On descendant sur l'allée on voit des ormes . On peut comparer l'orme au charme et observer les feuilles dissymétriques près du pétiole de l'orme (celles du charme sont symétriques). le caractère rugueux de la feuille de l'orme alors que la feuille du charme est lisse (le charme est "charmant").  L'orme est victime de la graphiose de l'orme, champignon véhiculé par un insecte le scolyte . les jeunes ormes résistent car leur écorce est très mince et la piqûre de I'insecte à travers l'écorce (pour pondre ses oeufs) ne se produit pas dans la partie vivante de l'arbre (très mince) mais elle s'enfonce trop loin dans le bois où le champignon ne peut se développer; ü faut que l'écorce soit suffisamment épaisse pour que la piqûre se produise dans le cambium où le champignon ensuite prolifère.

On arrive dans la partie basse de l'allée ; on peut trouver un HETRE (près de charmes) pour comparer les feuilles de hêtre '(à longs poils fim sur le bord) et de charme (Hetres à poils , charme à dents).

Le caractère calcaire est très marqué à nouveau, on peut observer outre la mercuriale ,l'érable champêtre, La viorme lantane, les CORNOUILLERS sanguin et mâle.  La feuille des cornouillers présente la propriété de ne pas se séparer si on casse avec précautions la feuille en deux parties (résine qui file entre les nervures rompues).

Le buis est très abondant dans les parties calcaires de Jambville. on peut observer sur chaque fruits trois 'petits hiboux' ; l'observation amusante peut se faire sur les fruits secs mais aussi sur des fruits verts

Le COTEAU CALCAIRE exposé au sud est très riche au plan botanique et comprend un certain nombre de plantes rares ou de caractère méridional on peut observer la roche calcaire qui affleure en de nombreux points avec très peu de terre végétale de PH 7-8 ; dans les trous on peut souvent observer des fossiles du lutétien.

24) CHENE CHEVELU au bout de l'allée
Cet arbre non originaire dans la région parisienne, est magnifique, Il est très bien à sa place sur ce coteau calcaire sec et chaud.  Remarquer les cupules de glands "chevelues"

25) EPICEAS COLONNAIRES

Ces épicéas colonnaires à plusieurs troncs sont impressionnant et excitent la curiosité (il est vraisemblable que c'est le résultat d'une forte taille dans la jeunesse de marbre, cette taille serait due à la volonté du propriétaire, à un certain moment de dégager la vue sur la vallée à partir du château et de l'allée).

Le reboisement en conifères est discutable sur ce biotope remarquable qu'il faudrait préserver à l'état naturel, en milieu assez ouvert Toutefois, les pins noirs poussent assez bien mais ils sont attaqués par les daims.  Parmi les conifères plantés et encore vivants on peut trouver un SAPIN (qu'il est intéressant de comparer à l'épicéa, voir plus haut), on verra des sapins de DOUGLAS , faire remarquer l'odeur agréable de citronnelle quand on froisse les feuilles de Douglas

On peut voir également sur ce coteau calcaire et exposé au sud de nombreux chênes présentant des caractères du chêne pubescent (hybrides ?), des plantes caractéristiques des terrains chauds et calcaires:
 l'iris à odeur de Jambon, le rosier à odeur de pomme (rubiginosa), le buplèvre  en faux et le buplèvre arbustif (plante du midi), le baguenaudier, l'asperge sauvage. du brachypode, l'hélianthème, du polygale, le genet des teinturiers. l'inule conyze, la centaurée en ombelle, l'hellébore fétide, le chèvrefeuille arbustif, l'épiaire droite, la germandrée petit chêne.

LA SCROFULAIRE PRINTANIERE . Dans des terrains vagues ou des décharges (anciennes grottes), ou peut observer la scrofulaire printanière plante très rare en région parisienne (connue seulement dans le parc des trianons, près de l'ancien jardin de Jussieu de Versailles).  La reproduction se fait par graine et la plante peut être observée en plusieurs endroits du parc.

26)La remontée vers le château peut se faire à l'ouest et on voit assez rapidement des trouées dans le mur, la deuxième ou la troisième convient pour une ANAI,YSE DE PAYSAGE assez dégagée ; de préférence le matin (sinon. il faut sortir de la propriété et s'installer en bordure de champ à la sortie de Jambville vers l'est).
Dans la remontée à l'ouest on peut voir également :

27)LE GROS  HETRE COUCHE ou tout au moins  ce qu'il en reste.  Cet arbre spectaculaire a été déraciné pendant une tempête
28) La LOUPE GEANTE peut être observée au pied d'un chêne.
Si on a eu le temps de montrer le très gros chêne au début de la visite, on peut profiter de ce chemin  de retour pour le présenter (il faut toutefois faire un détour).

29) LA HETRAIE.  L'ensemble de la hêtraie est impressionante, malheureusement les hêtres sont âgés et attaqués par la cochenilleil faudra la remplacer.

On arrive enfin à Saint Louis et à la SERRE ROLAND PIERRE.
 

merci à Jean- Paul d'avoir ecrit ce document
et Bonne route!

Francoise
e-mail : bmillerat@teaser.fr